« Quand un Français bat les Américains sur leur propre terrain!! Mécanique époustouflante, imparable : l’originalité des histoires de Serfaty est rarement égalée dans le monde du polar français. » Le coup de cœur des libraires – LCI
Jamie Byrne, au volant de sa voiture sous une pluie battante, vient de griller un feu rouge, et freine trop tard. Le choc est mortel. En quelques secondes, il voit sa vie défiler devant lui : son seul regret, ne pas avoir su quitter à temps la femme qui ne l’aime plus et qui lui a toujours refusé les enfants dont il rêvait.
Jamie s’éveille en sursaut et regarde autour de lui. Il est vivant, dans sa maison, et sa voiture est intacte. Une sublime jeune femme l’enlace et l’embrasse tendrement, deux jeunes garçons lui sautent au cou. Jamie est incapable de prononcer un mot… et pour cause : cette femme merveilleuse et ces enfants, il ne les a jamais vus !
Est-ce son rêve qui s’accomplit ou bien son cauchemar qui commence ?
Au bout d’un suspense mené à un rythme infernal, Jamie Byrne saura ce que sa quête lui réserve : la destruction finale, ou l’amour ultime.
Dans ce jeu de poupées russes, Thierry Serfaty renverse les codes du genre et explore les frontières de la réalité avec un talent époustouflant.
Après six thrillers traduits dans une dizaine de pays, Thierry Serfaty, renoue avec ce qui a fait l’originalité et le succès de son premier roman, Le Sang des sirènes, couronné à Cognac par le Prix POLAR : un mélange virtuose de suspense, d’ingéniosité et d’émotion.
Thierry Serfaty est également l’auteur, sous le pseudonyme d’Eli Anderson, de la trilogie jeunesse à succès Oscar Pill. Cette série, qui met en scène un adolescent capable de voyager dans le corps humain, a totalisé plus de 100.000 ventes de livres en France.
« Bon élève, toujours ailleurs. Une imagination qui le perdra. » Depuis sa naissance le 7 décembre 1967, Thierry se moque du verdict, s'obstine et s'évade. Un jour, ça peut servir. L'insouciance a une fin : après un bac scientifique, et puisque les deux frères ont choisi l'école de commerce, ce sera la Faculté de Médecine. Neuf ans d'études, une courte bouffée d'oxygène à Montréal et Thierry Serfaty prête serment. Et pas à moitié : il exerce la médecine générale en cabinet de ville, complète avec un poste d'attaché des hôpitaux en radiologie — et quand il reste quelques heures, le soir, il les consacre à la mission locale de Médecins du Monde. A la fin de l'été 1998, une remplaçante a beaucoup apprécié les trois semaines qu'elle a passées au cabinet. Soit : qu'elle garde les clefs. Tout est...